Beyrouth, ou la modernité bafouée
À Beyrouth, le patrimoine moderne se meurt, la faute à la guerre ainsi qu’à la spéculation foncière. Mais pas seulement. Selon George Arbid, architecte et directeur de l’Arab Center for Architecture (ACA), les vestiges modernes de la capitale libanaise sont également menacés par le dévoiement identitaire.
Un article de Georges Arbid
Lisez la suite de cet article dans le numéro 418 d’AA, mai 2017